Méteo

mardi 26 juin 2012

Notre itinéraire


L'entretien d'une piscine


Il vous faut...

• Une pompe qui va aspirer l'eau et l'amener jusqu'au filtre pour qu'elle soit rejetée de nouveau dans le bassin de votre piscine une fois purifiée.
• Un filtre (à diatomées, à sable, à cartouches, jetable ou un bloc filtre) généralement installé dans le local technique qui va filtrer l'eau de votre piscine afin de la débarrasser des impuretés.
• Un robot de piscine (hydraulique, à pression ou automatique) qui va nettoyer le fond et les parois de votre piscine grâce à son système de nettoyage automatique.
• Une brosse de piscine (de paroi, de ligne d'eau, aspirante, d'angles de mur, ou à main) pour le nettoyage des angles, du fond, des parois, des escaliers et des lignes d'eau de votre piscine.
• Une épuisette (de fond ou de surface) pour retirer les grosses saletés à la surface ou au fond de votre piscine.



L'entretien de la piscine : au moins une fois par semaine

  • Effectuez une analyse de l'eau.
  • Nettoyez la ligne d'eau.
  • Nettoyez votre pompe.
  • Si vous possédez un filtre à sable, nettoyez le sable.
  • Ajoutez les produits de traitement que vous utilisez pour votre piscine (chlore par exemple).
  • Équilibrez le pH de l'eau de votre piscine.
  • Contrôlez le chlore et en remettre éventuellement

L'entretien de la piscine : au moins une fois par jour

  • Passez l'épuisette pour éliminer les grosses saletés présentes à la surface ou au fond de votre bassin.
  • Nettoyez la totalité de votre bassin à l'aide de votre robot.
  • Effectuez un nettoyage de vos skimmers.

La qualité de l'eau de votre piscine

  • Assurez-vous que votre piscine dispose d'une bonne filtration.
  • Nettoyez votre équipement assez souvent (skimmer, filtre...).
  • Vérifiez que votre pH est compris entre 7 et 7,2.
  • Rectifiez-le si nécessaire.
  • Procédez au traitement de l'eau (contre les algues, le calcaire, les graisses...)

jeudi 21 juin 2012

La cuisine: les styles



Quel que soit le style de cuisine retenu – une chose est certaine: il faut choisir le style qui vous convient le mieux. Vous pouvez par exemple calquer le style de la cuisine sur votre intérieur. Surtout si vous avez choisi une cuisine ouverte, il vaut mieux que le style et la couleur de la cuisine soient en harmonie avec le reste de la maison.
Dans le cas d’une cuisine fermée, l’intérieur de la cuisine ne doit pas nécessairement être en harmonie avec l’intérieur du séjour, car si la porte de la cuisine reste fermée, les intérieurs du séjour et de la cuisine ne sont pas confrontés et on n’a pas le problème des gros contrastes.

Dépouillée

Une cuisine dépouillée se démarque par ses lignes épurées et souvent aussi par l’absence de poignées sur les armoires. Si les poignées sont apparentes, elles auront un aspect sobre et épuré. Les façades d’armoires présentent une surface plane et unie ; le plan de travail, quant à lui, une finition des plus sobres.

Rurale

Une cuisine rurale est une version plus chaleureuse. On y utilise souvent le bois ou de plaquage de bois et les façades d’armoires sont moins planes. Si on opte pour des poignées, elles peuvent être très sobres et contemporaines. Combiner des panneaux de bois sobres avec un bouton de porcelaine ou de fer forgé en guise de poignée, peut donner des résultats surprenants. Il existe quantité de variantes du style rural, allant du plus moderne et contemporain en passant par le cottage ou le mas provençal pour aboutir à l’ancien, d’époque.

D’autres styles qui recourent aussi au bois ou au placage bois et reprennent des éléments de style ancien, c’est la cuisine Country, la cuisine italienne, la cuisine de ferme, la cuisine artisanale et la cuisine nostalgique, …

Classique moulurée

Les uns disent que la cuisine classique est démodée, les autres adorent cette atmosphère qui date de l’époque de nos grands-mères. Le classique peut aussi se décliner en rural, ancien, nostalgique ou cottage. Ce que nous appelons classique, c’est surtout le style selon lequel les façades d’armoires sont parachevées avec d’élégantes moulures en forme d’arabesques et de volutes.

Et si vous pouvez vous permettre un petit plus, on peut y ajouter des détails en marbre, cuivre, bronze ou même en or.

Le style personnalisé

Il est crucial que vous vous sentiez bien dans votre cuisine. Donc, quel que soit le style que vous choisirez, faites-le en fonction de ce que vous aimez, de ce qui vous plaît. Si vous combinez une cuisine hypermoderne, des plus austères avec des éléments de bois brut, pourquoi pas ? Rien ne vous empêche non plus d’installer une cuisine américaine dans une ferme rénovée au lieu d’opter pour le style rural ou nostalgique. Et pourquoi ne pas intégrer un fourneau nostalgique Aga ou La Cornue dans une cuisine contemporaine ?
  • Privilégiez les matériaux faciles à entretenir si vous cuisinez souvent et surtout si vous avez des enfants en bas âge
  • Ne chargez pas trop avec des couleurs vives pour les façades d’armoires et les carrelages muraux. On ne les remplace pas tous les deux ans. Optez plutôt pour des tonalités sobres et ajoutez de la couleur en utilisant des accessoires colorés, des autocollants muraux et éventuellement une jolie peinture ou papier peint pour l’une des parois de la cuisine
  • Si vous aimez les moulures sur les portes des armoires, les motifs floraux sur le vitrage et d’autres volutes décoratives, combinez-les avec des matériaux plus sobres pour obtenir un bon équilibre. Le baroque sied à merveille aux intérieurs d’un château ou d’une église ; mais en cuisine, ce serait indigeste
  • Il en va de même pour l’utilisation des coloris: si vous aimez le chêne foncé, combinez-le éventuellement avec un revêtement de sol sombre et un plan de travail du même ton, mais laissez les murs et les plafonds clairs. Sinon vous aurez l’impression de vous trouver dans une cave sombre…

LES POMPES A CHALEUR


Fonctionnant selon le principe du cycle thermodynamique inversé, la pompe à chaleur puise de l’énergie thermique à l’extérieur pour la restituer sous forme de chaleur à l’intérieur d’une habitation.

Comment fonctionne une pompe à chaleur ?

La pompe à chaleur est constituée d’un compresseur. Celui-ci compresse un fluide caloporteur (type fréon) afin d’en augmenter la température. Une fois la température adéquate atteinte, la chaleur est distribuée dans l’habitation via plusieurs systèmes de chauffage (chauffage central existant, convecteur, chauffage au sol). Une unité d’énergie se transforme alors de 3 à 5 unités de chaleur. C’est ce qu’on appelle le Coefficient Optimal de Performance.
Pour fonctionner, c’est-à-dire puiser, transformer et transmettre la chaleur, la pompe à chaleur a besoin d’un faible apport électrique. Cette demande d’énergie est ridicule en comparaison à l’énergie nécessaire au fonctionnement d’une chaudière traditionnelle.
Remarque : Plus votre habitation est isolée, moins vous utiliserez d’énergie pour compresser. Votre investissement sera alors récupéré plus rapidement.

Les sources de chaleur

Une pompe à chaleur peut extraire de l’énergie thermique venant de l’air (aérothermie), de l’eau (aquathermie) ou de la terre (géothermie). Le choix de la source d’énergie se fera en fonction de l’environnement naturel et permettra de déterminer quel système de pompe donnera le meilleur rendement.
A savoir…
  • L’aérothermie est moins rentable que l’aquathermie et la géothermie car en hiver l’air est plus froid et demande plus de temps pour se mettre à température. La pompe tourne donc plus longtemps et consomme un peu plus d’électricité. Cette solution reste toutefois la plus adaptée aux habitations n’ayant que très peu de terrain…
  • Il est possible d’extraire l’énergie thermique du sol aussi bien verticalement qu’horizontalement.
  • A partir d’1,20m de profondeur, l’énergie thermique du sol se situe entre 4 et 10°C. Dans le cas d’une surface peu importante, vous devrez creuser plus profondément et donc utiliser la géothermie verticale.
  • Si un forage à plus de 100 mètres de profondeur est nécessaire, sachez qu’il vous coûtera plus cher qu’une géothermie horizontale.
  • En général, le système le plus utilisé est celui qui extrait la chaleur de la terre, c’est-à-dire la géothermie horizontale.
  • L’eau d’une nappe phréatique a une température constante qui se situe entre 10 et 14°C, hiver comme été.
  • Le petit plus : la pompe à chaleur n’utilise pas d’énergie fossile. Un bon point pour l’écologie…

Quel système de chauffage central ?

On peut combiner une pompe à chaleur à un système de chauffage existant. On parlera alors d’une installation en relève. Retenez que la pompe fonctionnera à merveille avec tout système capable de chauffer à basse ou haute température comme des radiateurs ou des convecteurs.

vendredi 8 juin 2012

Le jardin en juin


LE POTAGER (FRUITS ET LÉGUMES)

Afin de ne pas planter n’importe quoi, voici une liste de ce que vous pouvez planter en juin :
  • Carotte
  • Concombre
  • Cresson
  • Epinard
  • Fenouil
  • Laitue 
  • Melon
  • Navet
  • Oseille
  • Poireau
  • Potiron
  • Radis

Savoir cultiver

 Pour profiter de vos légumes et les déguster rapidement, il faut commencer la culture le plus tôt possible. Mais comment procéder?
Vous pouvez employer des techniques dites de "forçage".
• Il y a par exemple le châssis, créé avec 4 planches et une fenêtre. Ce coffre donne un bon taux d’humidité et est une bonne source de chaleur. Il est donc parfait pour démarrer les pousses. Si les journées sont ensoleillées, vous devez relever la vitre pour aérer les cultures.
• Les tunnels plastifiés sont eux adaptés aux cultures plus importantes. La bâche en plastique est tendue sur des arceaux. Veillez à bien les planter en terre car le tunnel favorise l’exposition au vent. Comme pour le châssis, aération obligatoire l'après-midi.
• Pour des cultures en quantité réduite, les cloches sont intéressantes. Elles sont maniables et offrent une bonne isolation. Lorsqu'une culture a bien démarré, on peut ôter les cloches et les utiliser ailleurs.
• Plus rare, le voile de forçage n’est adapté qu’à quelques situations. Ce voile est posé à même le sol, il protège des gelées et conserve la chaleur.

La plantation

Deux solutions s’offrent à vous, soit vous préparez des semis dans des bacs, soit vous plantez directement les graines dans le sol…

LES SEMIS :

• Choisissez un bac suffisamment grand. Placez-y une couche de billes d’argile expansées, du terreau et un mélange de sable et de terreau. Parsemez ensuite les graines. Si elles sont petites, semez-les à la volée. Si elles sont volumineuses, espacez-les de 5cm. Une fois cette opération terminée, tamisez les graines d’une couche de terreau et tassez le tout. 
• Ensuite, mouillez légèrement la terre. Quand c’est fait, il suffit d’enfermer le bac dans un sac plastique et de le déposer dans un endroit chaud et humide. 
• Quelques temps plus tard, 4 à 5 semaines, les pousses vont apparaître. Retirez alors le sac plastique et déplacez le bac dans un endroit chaud et éclairé.
• Dès que le temps est doux, le bac peut être placé à l’extérieur. Il faut alors protéger les plants du soleil et les arroser régulièrement. 
• Lorsque les plants commencent à manquer d’espace, placez-les en pleine terre en veillant à laisser des racines et à les espacer de 5cm.

LES GRAINES EN PLEINE TERRE :

• Préparez le sol afin d’obtenir une terre assez fine. Pour ce faire, enlevez les cailloux et les mauvaises herbes et passez le râteau. Si la terre est dure, arrosez-la la veille…
• Un potager n’est pas un champ de bataille, il doit être organisé. Tracez une ligne à l’aide d’un cordeau et creusez une petite raie. Placez-y les graines par deux ou trois, et respectez un intervalle régulier.
• Une fois les graines placées, il faut les recouvrir de deux à trois fois leur épaisseur. 
• La dernière étape consiste à tasser la terre et à l’arroser. 

Les activités de juin :

En ce qui concerne les récoltes, c’est le moment de l’ail, de la rhubarbe et des premiers radis.

Du côté du verger…

A l’aide d’un filet, protégez les framboisiers, les fraisiers et les groseilliers de la gourmandise des oiseaux.

Au point de vue de l’entretien

Pensez à aérer les cultures sous châssis et tunnels.
Traitez les plants de pommes de terre à la bouillie bordelaise afin de les protéger du mildiou. 
Avec la hausse des températures, une « croûte » peut éventuellement se former à la surface du sol. Défaites-la afin d’aérer la terre un maximum.
Le soleil fait du bien au jardin, mais il apporte également les mauvaises herbes. Eliminez-les régulièrement à coup de sarclage et de binage. 


Photos de Travaux - Rénovation d'une maison